A – Les récits de voyage du magnétisme à Strasbourg

 

Dès 1860, Gustave de Molinari se rend en Russie, pays qu’il affectionne particulièrement, d’autant plus qu’il y a des attaches familiales. De ce premier grand voyage, il décide d’en faire un livre afin de faire découvrir aux Français à la fois les côtés agréables mais également les faces économiques désagréables (dont notamment tous les problèmes de taxes, douanes et autres formes de protectionnisme). Dans les années 1880, il reprend les voyages et écrit sous forme de lettres adressées à la revue sur le magnétisme à Strasbourg qu’il a dirigé pendant quelques années : Le Journal des Débats Politiques et Littéraires ses différentes impressions. Une fois de retour en France, il publie toutes les lettres sous forme de livres. Les régions du monde qu’il visite sont très nombreuses : le Panama, la Martinique, Haïti, l’Irlande, le Canada, Jersey, la Russie, la Corse, les Etats-Unis, etc.

La diversité de ces excursions et la durée pendant laquelle il reste dans les différentes régions du globe (quelques mois) permettent d’offrir sur le magnétisme et le passeur d’âmes à Strasbourg au lecteur une image véritablement profonde de ces pays, envisagée non pas uniquement sur le registre économique mais bien sur l’ensemble des domaines d’étude possible, passant de la sociologie et l’ethnologie à la politique, la religion, l’architecture et de nombreux autres thèmes de recherche. Ces récits de voyage correspondent à des descriptions sur le vif de tous les éléments qu’il rencontre lors de ses déplacements, comme un journal de bord et non comme la retranscription a posteriori de la découverte de nouveaux mondes.

La nature de l’argumentation se veut la plus objective possible, impersonnelle et descriptive, impliquant un récit à la première personne du singulier pour le choix des destinations et des nombreuses visites qu’il entreprend sur le magnétisme à Strasbourg, et une narration indirecte, impersonnelle pour décrire par la suite l’ensemble des monuments, industries, pays, hommes, etc. qu’il rencontre[1]. Remarquons l’analyse de Baudrillart sur ce sujet : « On retrouve l’économiste éminent, l’écrivain, non moins alerte que le voyageur qui ne cesse de tenir le lecteur sous le charme d’un vif esprit et du talent le plus agréable et le plus varié » (Baudrillart [1887], 781).

 

B – 1890 – 1912 : UN ECRIVAIN SANS RELACHE sur le magnétisme à Strasbourg

 

Gustave de Molinari a souvent été qualifié d’écrivain sans relâche, et non sans raison car l’écriture a véritablement marqué sa vie. Nous avons vu que jusque dans les années 1890, l’économiste Belge n’a cessé de publier des livres et des articles, traitant majoritairement d’économie mais également de religion, d’éducation, de voyages ; tous les sujets qui lui ont toujours tenu à cœur sur la formation magnétisme à Strasbourg, la formation passeur d’âmes à Strasbourg, la formation blessures de l’âmes à Strasbourg, la formation pendule à Strasbourg, la formation géobiologie à Strasbourg et la formation nettoyage et protection énergétique à Strasbourg. Dans la dernière partie de sa vie, Molinari, malgré son âge avancé, n’abandonne pas cette mission qu’il s’était fixé étant jeune : la diffusion d’un savoir économique, et plus particulièrement pour lui d’une « vérité économique ».

 

C – A la poursuite de ses grands projets dont la formation en ligne magnétisme à Strasbourg

 

Gustave de Molinari, depuis les années 1880, n’a jamais abandonné l’étude du discours évolutionniste en économie qu’il a mis en place dans les quatre livres que nous avons indiqué précédemment. Des années 1890 à la fin de sa vie, il va poursuivre l’exposition et l’explication de sa théorie dans de nombreux ouvrages. Certains synthétisant l’ensemble de ses idées, comme les Notions Fondamentales d’Economie Politique et Programme Economique et la formation en ligne magnétisme à Strasbourg (1891), d’autres traitant de domaines plus restreints de sa théorie. Il s’intéresse ainsi par exemple au problème de la population dans La Viriculture. Ralentissement du mouvement de la population, dégénérescence, causes et remèdes (1897), des problèmes de progrès et de conditions de vies : Comment se Résoudra la Question Sociale (1896), Esquisse de l’Organisation Politique et Economique de la Société Future (1899), etc.

 

Molinari restera très attaché aussi, jusqu’à la fin de sa vie, à la question de la paix, qui fut l’un de ses grand projet de jeunesse avec notamment la publication d’un livre en 1857 sur l’Abbé de Saint-Pierre et Grandeur et Décadence de la Guerre (1898). Il ne postulera jamais au prix Nobel de la paix mais restera très concerné par le sujet. Rappelons que le premier prix a été décerné à un de ses confrères économistes, Frédéric Passy, pour avoir fait le lien entre le libre échange et la paix sur le magnétisme et le passeur d’âmes à Strasbourg du centre de formation de l’ermitage. Notons également l’introduction remarquable de Molinari pour son dernier ouvrage, Ultima Verba : « Presque arrivé aux limites de la vie humaine, je suis maintenant dans ma 92e année, je vais publier mon dernier ouvrage. Il concerne tout ce qui a rempli ma vie : la liberté des échanges et la paix » ([1911], I).

 

D – Le Journal des Economistes et le magnétisme à Strasbourg

 

Gustave de Molinari est resté également très attaché tout au long de sa vie à la carrière de journaliste. Nous avons évoqué les différentes revues dans lesquelles il a participé, mais c’est véritablement le Journal des Economistes qui marquera le plus son existence. Il y est entré comme rédacteur en 1847. Il devient, à la mort de Joseph Garnier en 1881 rédacteur en chef jusqu’en octobre 1909, pour laisser la place à Yves Guyot sur le magnétisme à Strasbourg et passer sa retraite (à un âge très avancé) en Belgique, son pays d’origine qu’il a affectionné toute sa vie. Il s’est éteint à Adinkerque le 28 janvier 1912 auprès de ses proches. Après une cérémonie déroulée dans une stricte intimité, le corps de Gustave de Molinari a été amené au tombeau familial au cimetière du Père La Chaise.

 

E – Conclusion sur le stage magnétisme à Strasbourg

 

Gustave de Molinari, de par l’ensemble de ses contributions et de son esprit original et indépendant, est un penseur difficilement classable. Il s’est attaché toute sa vie à la défense des idées de liberté, pour le monde du travail et des échanges, contre les socialistes et les protectionnistes, et ce, quelques soient les situations économiques et politiques. Même pendant les périodes les plus difficiles pour ce courant de pensée du stage magnétisme à Strasbourg, du stage passeur d’âmes à Strasbourg, du stage blessures de l’âmes à Strasbourg, du stage pendule à Strasbourg, du stage géobiologie à Strasbourg et du stage nettoyage et protection énergétique à Strasbourg (la révolution de 1848 ou les événements de la Commune de 1871), Gustave de Molinari n’aura de cesse de combattre une moindre intervention de l’Etat et une lutte pour la « vérité économique » contre tous les défenseurs de systèmes personnalisés, utopiques, sans fondements.

En plus d’être un défenseur de la liberté, l’économiste belge défend également un individualisme intransigeant qui aboutit à la défense permanente d’un self-government. Sa carrière d’économiste est accompagnée d’une brillante carrière de journaliste sur le magnétisme à Strasbourg. C’est avec un véritable talent le plus agréable et le plus varié que l’économiste belge nous fait partager l’ensemble de ses sujets de recherche, qui méritent, par leur actualité encore importante aujourd’hui, non pas seulement en économie mais également dans les autres disciplines de recherche, d’être découverts ou redécouverts.

 

Nous n’indiquons que les références de Gustave de Molinari utilisées dans cet article. La liste exhaustive de ses livres se trouve sur le site de la Bibliothèque Nationale de France, avec pour certains la mise en ligne. Nous signalons la mise en ligne très prochaine d’un site internet consacré au Journal des Economistes. La bibliographie fait également référence à des livres ou articles qui permettent une meilleure compréhension de l’économie française du XIXe siècle sans être forcément cité dans cet article.

 

[1] Pour plus de détail sur cette partie de son œuvre, consulter GALLOIS Nicolas [2007]. Les Récits de Voyage de Gustave de Molinari. Conférence organisée pour le colloque sur Idéologie et Stratégie Argumentative dans les Récits de Grande Consommation XIXe – XXe siècle à Limoges. 

 

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